Nous étions une quarantaine de militants réunis en ce dimanche après midi pour réclamer une relation pacifiée et heureuse avec les autres animaux, c’est à dire un monde sans chasse, sans carnages, sans fusils ni pièges. Cette proposition est fondée sur une approche éthique, écologique, culturelle : un divertissement cruel qui consiste à jouir de la souffrance, de la mort et de la terreur infligées à des êtres vivants sensibles incapables de se défendre est une aberration.
Pour les animaux sauvages, pour la nature, pour les non-chasseurs, nous défendons un projet et des propositions argumentées: l’abolition de la chasse, ou , à défaut, une réforme immédiate et de fond de ce loisir sanglant qui exerce une emprise néfaste sur le vivant et jette une ombre mortifère sur nos promenades.
Les chasseurs sont une minorité puissante mais décriée et détestée par la majorité de nos concitoyens.
Au sortir de cet été éprouvant, accablant de chaleur et de sécheresse, il fallait décider d’un moratoire. mais l’intransigeance des chasseurs est bien connue et s’est vérifiée: ni moratoire, ni report, il leur faut tuer tout de suite et massacrer sans vergogne.
Résistons, continuons notre combat contre la chasse et toutes les formes d’exploitation et d’oppression des animaux.
Tournons la page de la violence et des tueries, abolissons la chasse et le piégeage!